Points d’actualité
Par extrapolation, on peut tripler ce chiffre de 10, en tenant compte de toute la SSPP. Et si c'est bien 30 personnes qui réclament, on peut se demander à combien se monte la vrai chiffre définitif : 100 ou plus?
Est-ce qu’il faut accepter les nombreuses irrégularités apparues dès le début du vote?:
- campagne médiatique écrasante du Comité SSPP et ses alliés contre One Doctor One Vote - violation des promesses écrites de ne pas transmettre l'argumentaire de One Doctor - One Vote au comité - arrêt et report du vote au temps de vacances - violation du secret du vote par manque d’une envelope pour la carte de vote - et maintenant échec d’envoyer le matériel de vote à tous les membres.
From: Franziska Iseli [mailto:iseli@notariatiseli.ch]
Sent: Tuesday, November 06, 2018 4:35 PM To: Pierre Vallon <vallonpaw@me..com>
Cc: Kai Ludwig (SJP) <kai.ludwig@sjp-jur.ch>; SGPP - Christoph Gitz <christoph.gitz@psychiatrie.ch>; Jonas Rieder <rieder@notariatiseli..ch>
Subject: PROVISORISCHE Resultate Urabstimmung SGPP
Sehr geehrter Herr Vallon Wie vereinbart, gebe ich Ihnen hiermit das provisorische Zwischenergebnis der bis heute eingetroffenen Stimmausweise und Stimmzettel bekannt.
Ja zum Antrag: 423
Nein zum Antrag: 511
Ungültig: 9
Es werden in den nächsten Tagen vermutlich noch ein paar Couverts eintreffen, die den Poststempel vom Montag tragen und damit noch gültig mitgezählt werden. Es kann also noch nicht definitiv ein Endergebnis bekannt gegeben werden.
Ich bin nun bis und mit Montag abwesend, anschliessend werde ich das Endergebnis ermitteln und dieses in Urkundenform aufbereiten. In dringenden Fällen können Sie sich während meiner Abwesenheiten an Herrn Rieder wenden.
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Mit freundlichen Grüssen Franziska Iseli Notar
Bahnhofplatz 3
3011 Bern
Telefon: 031 310 25 50
09.10.2018 - 05.11.2018
Le texte pour la brochure explicative est le matériel de vote sont là
Nous sommes abasourdis par cette déclaration. «Un homme/une femme = une voix» est un principe de base incontesté de toute communauté démocratique. Il va encore de soi que les minorités doivent être protégées dans notre pays. D’après nous, il n’y a aucun argument valable qui s’oppose à une démocratie directe just-ement parmi nous psychiatres. De grands corps tels que la DGPPN (9000 membres), les associations françaises de psychiatres SPF et AFP ainsi que les sociétés médicales suisses comptant de nombreux membres (pédiatres, gynécologues) organisent régulièrement de vraies assemblées des membres. L’European Psychiatric Association (EPA), active à l’international, n’y voit pas non plus de problème. Pourquoi ne serait-il pas possible justement à la SSPP?
Ces déclarations du comité sont incomplètes. L’assemblée des membres de la SSPP n’existe en tant qu’or-gane complémentaire que sur le papier. Le comité n’informe par fidèlement sur les questions importantes telles que l’accréditation 2018 et l’année d’option. L’assemblée des délégués est certes ouverte à tous les membres, mais ils n’y ont pas droit de parole! Le chemin qui passe par les « organisations de base » est complexe et la plupart du temps difficilement praticable. L’assemblée des membres prévue à l’article 9 des statuts de la SSPP ne comporte aucune habilitation à prendre des décisions. A qui cela est-il utile?
Cet argument nous semble plutôt osé. La mise en place de structures démocratiques et transparentes n’empêche nullement la collaboration avec la SSPPEA ni avec d’autres partenaires importants, bien au contraire. L’assemblée des membres peut naturellement élire des délégués à l’assemblée des délégués à la FMPP. Des coûts inutiles découlent de structures administratives non transparentes et non démocratiques, et non pas de la réintroduction du droit de vote pour tous les membres.
L’assemblée des délégués n’a PAS fait ses preuves en tant qu’organe de pilotage et de contrôle de la SSPP. Des discussions au sujet d’orientations stratégiques n’ont pratiquement pas lieu au sein de l’assemblée des délégués. De nombreux délégués ne prennent même pas la peine de se rendre à l’assemblée des délégués. Depuis des années, l’assemblée des délégués approuve des budgets pour lesquels les dépenses pour divers postes continuent de manquer de clarté. En cas de vacances de postes, les personnes désignées par le comité sont la plupart du temps validées à 95-100% des voix sans opposition, ce qui nous fait plutôt penser à un simulacre de démocratie.
Le transfert continuel d’importantes informations aux membres constitue l’une des missions de base de tout comité associatif. Avec les moyens électroniques actuels, cela ne pose aucune difficulté aujourd’hui contrai-rement à la situation qui prévalait en 1996. Contrairement au comité, nous estimons que les membres normaux de la SSPP sont eux aussi en mesure de s’informer et de réfléchir, d’élire leurs représentants ou de les désé-lectionner, de contrôler le budget et les comptes de l’association, en bref, de prendre des décisions valables sur la base d’arguments réfléchis et factuels.
Le Comité: „Non à la loi du plus fort, place aux arguments convaincants L’AD assure aux sociétés cantonales et affiliées la possibilité de participer aux décisions en proportion correspondante à leur effectif et de défendre leurs intérêts. La participation des minorités linguistiques et de spécialisations est garantie grâce au système de délégation.“
Réplique des 221 initiateurs:
Un excellent argument qui n’est toutefois pas en faveur du maintien de l’assemblée des délégués mais qui va dans le sens d’une réintroduction de l’assemblée des membres! En effet, ce sont actuellement les plus forts qui prennent les décisions à la SSPP, en première instance le comité, qui décide si un argument soit entendu et reconnu, alors que la grande majorité des membres ne dispose d’aucun droit de vote. La Suisse est un petit pays. Les assemblées des membres de la SSPP qui sont organisées en alternance en Suisse romande, au Tessin ou en Suisse alémanique, seraient un enrichissement bienvenu et une occasion remarquable de rassembler les collègues francophones, italophones et germanophones.
Le Comité: „Voici pourquoi l’assemblée des délégués de la SSPP ne doit pas être remplacée par une assemblée des membres La SSPP réunit plus de 2000 membres ordinaires organisés en groupements régionaux et par spécialisation aux intérêts très spécifiques. Afin de préserver et d’équilibrer ces différents intérêts, les membres de la SSPP ont introduit il y a plus de 20 ans une assemblée des délégués (AD).
Cet acquis démocratique doit être maintenu à l’avenir.“
L'assemblée générale prononce sur l'admission et l'exclusion des membres, nomme la direction et règle les affaires qui ne sont pas du ressort d'autres organes sociaux.
Elle contrôle l'activité des organes sociaux et peut les révoquer en tout temps, sans préjudice de leurs droits reconnus conventionnellement.
Les décisions de l'association sont prises en assemblée générale.
Tous les sociétaires ont un droit de vote égal dans l'assemblée générale.
https://www.admin.ch/opc/fr/classified-compilation/19070042/index.html#a64
https://www.associations.gouv.fr/1001-redaction-statuts-association.html
Les histoires les plus incroyables sont parfois écrites par la vie…
La Société Suisse de Médecine de l'Addiction SSAM-SAPP et sa Section de Psychiatrie et Psychothérapie des Addictons [sic!] sont fiers de leurs assemblées des membres avec le droit d’un vote pour chaque membre.
http://www.ssam.ch/d8/sites/default/files/statuten/170914_statutenSSAMv12.pdf
http://www.ssam-sapp.ch/sites/default/files/downloads/d_REGLEMENT%20SSAM_SAPP.pdf
Contrairement et dans la version allemande, le comité de la SSAM-SAPP dénonce la réintroduction du droit de vote dans une assemblée des membres dans la SSPP comme mésure "pseudo-démocratique". Dans le cas d'un OUI au "One Doctor One Vote" on prédit même le déclin de la SSPP. Voici le lien: http://ssam.ch/d8/urabstimmung-der-sgpp-vote-par-ecrit-de-la-sspp
"Urabstimmung der SGPP / Vote par écrit de la SSPP
"Der Vorstand der SSAM-SAPP befürwortet die Beibehaltung des Delegiertensystems, das es der SSAM-SAPP erlaubt, sich in die SGPP gebührend einzubringen. Die vorgeschlagene pseudo-basisdemokratische Neuordnung würde nach Ansicht des Vorstandes das Funktionieren der SGPP verunmöglichen.
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Le comité de la SSAM souhaite garder le système de délégation, qui permet à la SSAM de faire entendre sa voix au sein de la SSPP. La nouvelle proposition, même si elle semble encourager la démocratie de base, empêcherait dans les faits le bon fonctionnement de la SSPP."
Mercredi, 17 octobre 2018
Les membres de la SSPP ont reçu leur matériel de vote. Il comprend la carte de légitimation, le bulletin de vote, les arguments pour et contre, ainsi qu’une enveloppe-réponse adressée à la notaire.
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Jeudi dernier au groupe de discussion psychiatria@yahoogroups.com (462 membres) le psychiatre Heiner Lachenmeier a rédigé une prise de position:
“Les méchanismes de contre-pouvoir (check and balances) sont nécessaires et essentiels au fonctionnement d'un système démocratique.
Partant d'une intention louable de simplifier, la réunion de délégués au lieu des assemblées générales des membres, montre à ce jour, que les méchanismes de contrôle et de régulation ne se sont pas améliorés, au contraire.
En tant qu'ancien membre du bureau de la SGPP et président fondateur de la FMPP je soutiens donc la réintroduction des assemblées plénières générales.”
Aujourd'hui il s'agit d'entrer en contact avec toutes et tous collegues et d'engager la discussion!
De leur faire part des informations sur ce site et de leur soumettre les arguments. Vous trouverez sur www.psica.ch des argumentations et informations utiles sur les questions de fond concernant par exemple l'accréditation 2018/l'année à option. Si vous souhaitez participer physiquement au vote, contactez info@psica.ch
Une participation financière pour couvrir les frais (avocat, graphiste, imprimeur) peut être envoyée au
Psica, 8000 Zürich, PC-Konto: 85-158543-4 IBAN: CH12 0900 0000 8515 8543 4
Jeudi, le 11 octobre 2018
La recommandation de vote du Dr. med. Heiner Lachenmeier, ancien membre du comité de la SSPP, qui a également présidé à la mise en place de la société FMPP, avec ses arguments pour un OUI à One Doctor - One Vote!
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Après des retards on a reçu le matériel de vote et cela étonne que la carte de vote et le bulletin de vote doivent être renvoyés dans la même seule enveloppe. Usuellement, dans le vote par correspondance, le bulletin de vote est renvoyé sous enveloppe fermée, avec la carte de vote annexée. Un vote par bulletin secret nécessite normalement deux enveloppes, car la carte de légitimation et le bulletin de vote y doivent être séparés. On glisse le bulletin de vote dans l'enveloppe électorale, on ferme cette enveloppe et avec le formulaire de légitimation on met les deux dans une enveloppe de transmission.
Certains sont préoccupés, car le bulletin de vote et le formulaire de légitimation ne sont pas separés dans l'enveloppe de transmission. Voyez également les dispositions respectives mises en place. p..ex. dans le Valais: http://www.psica.ch/fr/system/files/download/Tout%20ce%20qu%E2%80%99il%20faut%20savoir%20sur%20le%20vote%20par%20correspondance.pdf
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Mercredi, le 10 octobre 2018
Pression des associations de psychologues pour un changement du modèle de remboursement dans l'assurance de base.
Les grandes associations professionnelles de psychologues mènent une action par courrier pour réveiller le ministre de la santé. Dans d'innombrables lettres, ses membres appellent Alain Berset à agir. A l'issue de cette action, les associations lanceront une vaste pétition avant la fin de l'année. Malgré ce thème concerne le futur aussi de toute la psychiatrie suisse, le comité de la SSPP se couvre de silence:
http://www.psica.ch/system/files/download/PaulHoffSVPC20181010.docx
Les psychologues réclament de pouvoir exercer sur prescription des médecins, comme par exemple les physiothérapeutes. "Nous souhaiterions être reconnus comme responsables de nos traitements psychothérapeuthiques puisque nous avons une formation postgrade en psychothérapie équivalente à celle des psychiatres."
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Dimanche, 18 septembre - Un déjà vu (2007 - 2018)
Die Mailingliste psychiatria@yahoogroups.com ist eine seit mehr als 12 Jahren bestehende Mailingliste mit 460 Schweizer PsychiaterInnen. Eine Psychiater aus Winterthur kommentiert die einseitige Parteinahme des Rundschreibens des ZGPP-Vorstandes mit folgenden Worten:
Dabei wird der Versuch unternommen, dem Leser zu beweisen, dass die aktuellen Strukturen der SGPP legal und demokratisch sind; wohl wissend, dass die Strukturen der SGPP die eigenen Mitglieder widerrechtlich (gemäss ZGB) entmachten und bevormunden.
Der Vorstand der ZGPP unterschlägt auch, dass die Urabstimmung lanciert wurde, weil seit Ende 2017 der Verdacht besteht, dass der Vorstand der SGPP die Mitglieder hintergeht und belügt. Dabei wurde erst vor wenigen Tagen, durch die vom BAG veröffentlichen Unterlagen, bewiesen, dass der Vorstand der SGPP weder transparent noch ehrlich ist; obwohl in den öffentlichen Stellungnahmen während Monaten das Gegenteil behauptetet wurde.
Übel, übel......aber offenbar üblich."
Bereits jetzt beginnen die Vorstände und PräsidentInnen zuerst von SGPP/SSPP, FMPP, dann von ZGPP, GNP, SVPC/ASMP usw. eine vereinigte Medienoffensive gegen das Stimm- und Wahlrecht für einfache Mitglieder.
http://www.psica.ch/system/files/download/Abstimmungsverzoegerung20180914.pdf
Aufbau eines grossen Zeitdrucks
Wie bei Abstimmungen üblich, haben sich die Initianten mit dem Vorstand auf die Moderation der formalen Abstimmungsmodalitäten geeinigt: Die Länge des Argumentariums (2 Seiten), die Zeichenzahl (8000 bis 10000 Zeichen), der Zustellung (Mitte September), den einzuhaltenden Fristen (Abgabedatum 12.10.2018)
(…)
Es gibt verschiedene Wege, sich als Mitglied zu äussern, einer davon ist, sich an unseren Delegierten zu wenden. Denn dieser Berufsverein funktioniert sehr hierarchisch; einfache Mitglieder können sich nicht direkt einbringen. Und dies in einem Land, welches auf seine direkte Demokratie zu Recht stolz ist.. Leider kann keine andere Psychiater-Vereinigung gegründet werden, denn die FMH-Statuten (Art. 18 Abs. 2) lassen dies nicht zu.
Die Delegierten tragen eine hohe Verantwortung, denn die Delegiertenversammlung ist oberstes Vereinsorgan (Statuten SGPP Art. 12) mit sehr umfassenden, ausschliesslichen Befugnissen. Leider erinnert die Funktionsweise der DV mittlerweile stark an Parlamenten aus totalitären Staaten u. zw. in mehreren Hinsichten.
Einige Kritikpunkte möchte ich nun schriftlich festhalten:
1. Akkreditierung:
Dass es sich um eine Farce handelt, sollte mittlerweile allseits bekannt sein. Der Versuch, mittels der Akkreditierung „hinten durch“ mehrere nicht mehrheitsfähige Punkte durchzusetzen (Reduktion der Weiterbildungszeit und der Dignität, Abschaffung des Fremdjahres, Reduktion des Lernzielkatalogs und damit der tarifrelevanten Leistungsansprüchen) hat nicht wirklich geklappt.
Der Vorstand, der sich nicht geniert zu behaupten, er setze sich für das Fremdjahr ein, hat eine sog. Präsidentenkonferenz einberufen am 15.03.2018, und diesen Kantonal-Präsidenten bzw. Präsidenten der angegliederten Gesellschaften entweder keine Unterlagen gezeigt (obwohl er dies darf (gemäss eidg. Datenschutzbeauftragten) und muss (gemäss Akkreditierungskriterien WFME) oder die falschen vorgelegt (z. B. den Entwurf des Selbstbeurteilungsberichts vom 3. Mai statt den definitiven, überarbeiteten von 2. Juni).
Cui bono? Sicherlich werden sich das BAG und auch die Kantone freuen, da sie sehr bestrebt sind, die Beiträge an die Weiterbildung zu kürzen (GWL) und Tarife weiterhin zu senken. GWL werden nämlich nur für die Facharztweiterbildung entrichtet, nicht aber für Schwerpunkte oder Fähigkeitsausweise.
2. Budget:
Das Budget der SGPP ist ein Black Box, und wird zu einem Buch mit sieben Siegeln, wenn man noch das Budget der FMPP - mit der sie zusammen eine verschachtelte Organisation mit verschiedensten Kommissionen bildet. Beim näheren Betrachten kommen aber sehr viele Fragen auf:
Z. B. wieso wird so viel Geld ausgegeben für Geschäfte, die eigentlich vom SIWF finanziert werden (z. B. Titelerteilung, Weiterbildungsstättenkommission, Visitationen)?
Warum wird die Titelerteilung durch die Mitglieder grösstenteils mitfinanziert, obwohl es nur Sache des SIWF ist?
Wieso steigt stets der Aufwand für Kommunikation und PR in diesem Ausmass?
Welche Verträge oder Vereinbarungen bestehen mit den Kongressorganisatoren und anderen Playern (z. B. Medizinonline)?
Wie ist zu erklären, dass die Bezüge („Spesen“) unserer Vorstandsmitglieder das 10-20fache ausmachen als in anderen vergleichbaren Organisationen?
Ein detailliertes Budget wäre sehr zu begrüssen.
Und Reglemente, denn diese fehlen auch gänzlich. Die Kommissionen arbeiten nämlich ohne Reglemente, die von der DV genehmigt worden sind.
3. Amtszeitbeschränkung:
Die SGPP entwickelt sich in Richtung einer orientalischen Gerontokratie, in der alte, teils schon pensionierte Personen (meistens Männer) über die Gegenwart und Zukunft der aktiven Psychiater und psychiatrischen Institutionen entscheiden.
Offensichtlich funktioniert der Mechanismus eines anstandsbedingten Rücktritts nicht mehr, mehrere Vorstandsmitglieder kleben ganz fest an ihren lukrativen Sesseln. Eine Statutenrevision mit Einführung einer Amtszeitbeschränkung wäre sehr zu begrüssen.
4. Einkommensbeschränkung:
Siehe auch Punkt 2.. Unsere Vorstandsmitglieder verdienen z. T. sehr viel („Spesen“).
In vergleichbaren Berufsorganisationen gibt es eine Obergrenze bei in der Regel SFr. 5‘000 oder höchstens 10‘000/Jahr.
Ein Einkommen über eine Funktionärstätigkeit im Milizsystem in einem Ärzteverband von SFr.. 50‘000 - 100‘000 oder mehr ist nicht vertretbar.
Grund: man gibt sich die Aufträge selber („Selbstdispensation“), es fehlt die Aufsicht (und die Scham). Ich schlage vor, dass unsere Vorstandsmitglieder ihre Bezüge der letzten 10 Jahre vom mitgliederfinanzierten Berufsverband SGPP offenlegen und dass ausserdem eine Obergrenze von SFr. 10‘000/Jahr eingeführt wird.
5. Commitment für die Sache der Mitglieder:
Die SGPP ist ein Berufsverband und nicht eine Fachstelle des Bundes. Die SGPP wird finanziert von Psychiatern, um ihre Interessen zu vertreten. Dennoch agiert der Vorstand sehr oft gegen die Interessen seiner Mitglieder, schwächt die Psychiater und stärkt andere Akteure, z. B. die Psychologen.
Der Vorstand spielt diesbezüglich ein Doppelspiel. Kaspar Aebi, Kommunikationschef der SGPP, setzt sich in der heutigen Sonntagszeitung dafür ein, dass die Psychologen über die Grundversicherung abrechnen können. Was wären Folgen eines solchen Schritts? Einerseits würden die Psychiater eine ihrer Kernkompetenzen, die Psychotherapiedelegationsfähigkeit, verlieren. Andererseits würde dies zu einer extremen Zunahme der Leistungsanbieter mit entsprechender Mengenausweitung in den ambulanten Psychotherapie-Praxen führen.
Die Tarife würden zusammenbrechen mit entsprechenden Konsequenzen sowohl für die frei Praktizierenden als auch und insbes. für die sozialpsychiatrischen Ambulatorien und Schliessung solcher Angebote. Bereits heute sind die Tarife in diesem Ambulatorien nicht kostendeckend. In der Sonntagszeitung steht klar geschrieben, dass Kaspar Aebi als Vorstandsmitglied dieses Statement abgibt. Ist diese die Meinung der Mitglieder oder hat sich der selbstgefällige Vorstand verselbständigt und agiert nach eigenem Gutdünken? (Zum Glück gibt es noch einen vernünftigen Alain Berset).
6.. Revisionsstelle:
Stillschweigend wurden die SGPP-Statuten geändert (Art. 19), i. S. dass die Revisionsstelle statt für eine Amtsdauer von drei Jahren nur noch für ein Jahr gewählt wird. Diese Statutenänderung wird nirgends vermerkt, was nicht geht.
Warum wurde dieser Artikel betr. Revision geändert? Und warum wird bei der SGPP nur noch eine eingeschränkte Revision gemacht statt eine ordentliche?
7. Offenlegung der Interessenkonflikte:
Im Vorstand der SGPP gibt es sehr viele Verbindungen, auch familiärer Art, insbes. mit Verantwortlichen der Psychologen-Verbände. Diese Interessenkonflikte müssen offengelegt werden, denn wir zahlen unsere Beiträge nicht für die Interessenvertretung anderer Professionen. Und auch nicht für die Partikularinteressen der Vorstandsmitglieder.
8. Fehlende Strategie:
Der SGPP fehlt eine offizielle, von der DV jährlich geprüfte und abgesegnete Strategie. Statt dessen hat der Vorstand eine „hidden Agenda“. Im Gegensatz zu anderen Berufsverbänden (z. B. Hausärzte) und trotz fürstlicher Entlohnung hat dieser Vorstand kaum einen Erfolg zu vermelden (Erfolg für die Mitglieder, meine ich).
(…)
Persönlich finde ich, dass dieser Vorstand sowohl dem Berufsstand der Psychiater als auch der psychiatrischen Versorgung keinen guten Dienst erweist.. Zu dieser Meinung stehe ich.